Polémique sur internet : des chats "emmurés" vivants ?
Face au constat des premières fermetures, la présidente de la seule association encore sur le terrain et qui s'était vue renouvelée la convention de stérilisation et de relâche sur le site, s'inquiète par écrit auprès de la direction de l'hôpital de l'application de la note de service du 4 juillet. Parallèlement, l'information est communiquée sur les forums internet de protection animale. Une seule et même question dans l'esprit des internautes qui suivent le sujet, dont certains avaient déjà été émus par le sort de la douce Camille : y a t'il des chats enfermés à l'intérieur des vide sanitaires? Les chats peuvent-ils sortir ? Les endroits fermés communiquent-ils avec ceux encore ouverts ? Si la direction fait sortir les chats, comment s'y prend elle ?
Aux dizaines de questions qui nous sont posées, comment répondre ? Nous ne savons pas, nous aimerions savoir. La décision de la direction, les méthodes, sont violemment critiquées. On nous demande d'agir, d'informer les medias, les fondations, la mairie. Je ne recevrais aucune réponse à mes premiers appels en ces directions. Quant à la réponse de l'hôpital, elle tarde à venir. La mobilisation internet en faveur des chats s'amplifie, on nous demande de réouvrir les vide sanitaires ce que nous ne pouvons nous résoudre à faire : quelle crédibilité aurions nous dans ces conditions au regard de ceux avec qui nous demandons l'ouverture de négociations ?
Il nous faut éviter la diffamation et ne pas décevoir ceux dont l'indignation explose sur les forums.
La mairie de Perpignan se trouve prise à partie, comme toutes les communes n'ayant pas encore compris, à l'inverse de nos voisins suisses ou allemands, que seule une politique active de stérilisation massive, à moyen terme ,peut venir à bout de la prolifération féline.
Une internaute indignée s'adresse directement au maire par courriel. En réponse, le directeur de cabinet de ce dernier lui adresse copie d'un courriel du directeur de l'hopital, après lui avoir précisé que bien que cette question surgissant dans le cadre d'un établissement public ne soit pas de son ressort, la gravité des faits l'a conduit à se renseigner. Pour le directeur de l'hôpital, il ne se passe rien sur le site. Il y a bien des chats errants mais une association s'en occupe ainsi que la police municipale (faut-il comprendre la fourrière ?). Cette lettre publiée sur internet accentue la défiance vis-à-vis des autorités. Et bien, puisque ni le directeur de l'hôpital ni la mairie ne semblent savoir ce qui se passe à l'hôpital de perpignan, ils vont en être informés...
Aux dizaines de questions qui nous sont posées, comment répondre ? Nous ne savons pas, nous aimerions savoir. La décision de la direction, les méthodes, sont violemment critiquées. On nous demande d'agir, d'informer les medias, les fondations, la mairie. Je ne recevrais aucune réponse à mes premiers appels en ces directions. Quant à la réponse de l'hôpital, elle tarde à venir. La mobilisation internet en faveur des chats s'amplifie, on nous demande de réouvrir les vide sanitaires ce que nous ne pouvons nous résoudre à faire : quelle crédibilité aurions nous dans ces conditions au regard de ceux avec qui nous demandons l'ouverture de négociations ?
Il nous faut éviter la diffamation et ne pas décevoir ceux dont l'indignation explose sur les forums.
La mairie de Perpignan se trouve prise à partie, comme toutes les communes n'ayant pas encore compris, à l'inverse de nos voisins suisses ou allemands, que seule une politique active de stérilisation massive, à moyen terme ,peut venir à bout de la prolifération féline.
Une internaute indignée s'adresse directement au maire par courriel. En réponse, le directeur de cabinet de ce dernier lui adresse copie d'un courriel du directeur de l'hopital, après lui avoir précisé que bien que cette question surgissant dans le cadre d'un établissement public ne soit pas de son ressort, la gravité des faits l'a conduit à se renseigner. Pour le directeur de l'hôpital, il ne se passe rien sur le site. Il y a bien des chats errants mais une association s'en occupe ainsi que la police municipale (faut-il comprendre la fourrière ?). Cette lettre publiée sur internet accentue la défiance vis-à-vis des autorités. Et bien, puisque ni le directeur de l'hôpital ni la mairie ne semblent savoir ce qui se passe à l'hôpital de perpignan, ils vont en être informés...